Le corps en fonction de l'identité personnelle et culturelle

Un projet de recherches sur les possibilités de la danse et du travail corporel comme moyen pour l’entente entre les peuples et pour la tolérance

Je voudrais bien vous présenter cette entreprise, qui est, je l'admets, spectaculaire et audacieuse, de développer un programme praticable d'éducation à la tolérance et à l'entente entre les peuples à la base non verbale par la danse et par le travail corporel.
Ce programme suit d'autres projets, par exemple l'étude de Peter Brooks régisseur de Londres qui a voyage avec groupe multinationale dans l'Afrique et l'Asie et qui est entré en scène par exemple sur des places aux villages) et vous propose une dimension pratique et scientifique.
Quand nous parlons des problèmes très graves du racisme et des conflits ethniques nous nous sommes accoutumés aux mécanismes de spéculation, de refoulement et de polémique, nous espérons et nous craignons sans faire l'effort nécessaire de rechercher en fait ces problèmes mais aussi par des méthodes convenables et pas conventionnelles. - d'un côté, jusqu' à maintenant, nous n'avons pas encore trouvé un moyen de ne pas nier ni d'évaluer les différences évidentes entre des groupes ethniques mais de les accepter. Nous n'avons pas encore risqué d'examiner la difficulté avec de la curiosité positive. Par là, nous nous sommes privés de la possibilité et de l'espérance d'être capable de ramener ces opposés et ces différences à une base commune de tous les hommes. Par ce moyen les différences entre les êtres humains ne perdraient pas seulement leur façon menaçante. Tout au contraire, i1 serait possible d'en faire une source de variété et d'expérience.
-de l'autre côté, nous ne nous sommes pas encore totalement rendu compte du fait que la pauvreté et le sous-développement ne décrivent pas seulement une manque économique mais qu'ils présentent aussi définitivement un déficit culturel et civilisateur.

Les pays plus pauvres souffrent du fait qu'ils sont coupés des grands mouvements culturels et émancipateurs de la culture mondiale. Il n'y a guère des programmes pour la population d'apprendre à connaître des techniques culturelles modernes, -des points de vue d'autres civilisations, et des débuts

créatifs. On rejette trop vite de telles propositions comme luxe. Au' contraire, elles seraient même très bon marché. En plus, ces débuts pratiques d'une aide socioculturelle pour accomplir les exigences de vie sont au moins aussi importants pour les habitants des pays plus pauvres que pour les sociétés post-modernes. Le rétablissement économique et le développement d'une démocratie croissante ne sont pas possibles si on ne comprend pas qu' on est responsable pour soi-même, qu'il y a une très grand variété de styles de vie et qu'il faut établir un contrepoids à l'image de la modernité présentée par les media qui sont en ce moment simplement orientés à la consommation.

Donc, un changement des attitudes humaines, une éducation à la démocratie et à la tolérance dans les pays plus pauvres autant que des cours intégratifs dans les écoles des pays d'immigration qui,

jusqu à maintenant, n'ont pas encore assez de matériel pour enseigner d'un esprit créateur et réaliste dans une classe hétérogène disant composée de plusieurs groupes ethniques, tous cela serait une condition pour une aide économique raisonnable. Un programme pédagogie intégrative sera de plus en plus nécessaire qui ne évalue les différences mais qui fait éprouver les bases communes.

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